Histoires vraies: quand le virtuel change une vie
Lina se connectait en cachette pendant la sieste, persuadée de n’avoir ni place ni énergie. Elle a commencé par dix minutes, caméra éteinte, juste un tapis et un souffle. Trois semaines plus tard, elle ouvrait sa caméra, riait avec le groupe, et tenait sa première séance de quarante minutes. Le virtuel avait enfin un visage.
Histoires vraies: quand le virtuel change une vie
Les rappels bienveillants et les emojis post-entraînement ont créé un rituel affectif pour Lina. Manquer une séance, c’était rater un rendez-vous avec des amis. Cette relation à la pratique a ancré sa régularité, plus que n’importe quel conseil technique. Racontez-nous votre déclic: quel détail a rendu la constance possible chez vous?